Jean Bouscand in « les communistes dans la Résistance en Côte d’Or » éd. PCF 21 / 1996 p.2
Jean Bouscand à Auschwitz, 8 juillet 1942

Matricule « 45.292 » à Auschwitz

Jean Bouscand : né en 1893 à Bagnot (Côte d’Or) ; domicilié à Dijon (Côte d’Or) ; cheminot ; responsable CGTU cheminot, secrétaire du comité départemental du PCF ; arrêté le 22 juin 1941 ; interné à Compiègne ; déporté le 6 juillet 1942 à Auschwitz où il meurt le 11 août 1942.

Jean Bouscand est né le 17 février 1893 à Bagnot (Côte d’Or).
Il habite au 20-22, rue Magenta à Dijon (Côte d’Or) au moment de son arrestation. Jean Bouscand est le fils de Louise Bouscand, 31 ans, manouvrière.
Il habite à Dijon (Côte d’Or) au moment du Conseil de révision. Le métier qu’il exerce alors a été raturé (domestique de culture) sur son registre matricule militaire et remplacé par « employé au PLM ». Ce registre nous apprend qu’il mesure 1m 68, a les cheveux châtain, les yeux « bleu jaunâtre », le front moyen vertical, le nez moyen rectiligne, le visage ovale. Il a un niveau d’instruction n° 3 (possède une instruction primaire supérieure).
Conscrit de la classe 1913, Jean Bouscand s’est engagé volontairement pour quatre ans le 11 octobre 1912 à la mairie de Dijon. Il est affecté au 12ème Régiment de Hussards où il arrive le 1er novembre 1912.
Jean Bouscand est blessé à la nuque et au ventre par éclats d’obus
le 10 octobre 1914 lors de l’attaque du village de Foncquevillers (après la défaite de l’armée allemande sur la Marne et son repli sur l’Aisne, c’est la « course à la mer ». Il s’agit pour les Franco-britanniques de prendre à revers l’aile de l’armée adverse située le plus au nord, pour réaliser une manœuvre d’encerclement).
Jean Bouscand est nommé brigadier le 3 avril 1915. Il passe au 2ème Régiment Léger le 1er juin 1916, puis au 108ème Régiment d’Artillerie Lourde le 16 août 1916. Il est nommé maréchal des logis le 10 janvier 1918.

Croix de guerre

Affecté ensuite au 131ème Régiment d’Artillerie lourde le 1er mars 1918.
Il est cité à l’ordre du jour n° 9 du régiment le 8 septembre 1918 : « excellent chef de pièce, qui maintes fois a fait preuve d’énergie, de dévouement, notamment en juin 1917 où blessé, il refusa d’être évacué, et en août 1918 où dans des circonstances très pénibles a fait preuve du plus grand courage ». ses campagnes contre l’Allemagne sont comptées du 4 août 1914 au 12 janvier 1919.
Il est décoré de la croix de guerre.
Il est mis à la disposition des Chemins de fer PLM le 13 janvier 1919 comme homme d’équipe… et démobilisé le 16 août 1919 « certificat de bonne conduite accordé », il passe ainsi dans la Réserve comme «affecté spécial» aux chemins de fer de campagne.

Jean Bouscand épouse Suzanne Simonnet le 8 septembre 1920 à Dijon. Institutrice elle est née à Dijon le 12 mars 1896. Elle est alors domiciliée à l’Isle-sur-le-Doubs (Doubs). Jean Bouscand est domicilié au 21, rue Hoche à Dijon. Son épouse décède le 21 mai 1921 à l’Isle-sur-le-Doubs.
Il épouse en secondes noces Jeanne Colin le 28 décembre 1922 à Dijon. Agée de 23 ans, Elle est employée de commerce, née à Langres (Haute Marne) le 26 décembre 1899. Elle est domiciliée au 7, rue Saumaise à Dijon et Jean Bouscand est domicilié 2 bis, rue Lagny à Dijon. Son épouse décède en 1925.
En 1925, Jean Bouscand adhère au Parti communiste (la cellule 26 de Dijon dont Valentin Rabier était secrétaire). En 1927 il habite au 57, rue Saumaise à Dijon. « Après avoir été wagonnier, le 25 avril 1927, il entra en fonction comme conducteur à Dijon. Jean Bouscand devint Chef de train au PLM et en 1928, secrétaire général du syndicat CGTU des cheminots de Dijon » (Le Maitron).
Militant cheminot CGTU : « Il fut élu délégué du personnel aux élections de la compagnie du PLM en août 1929. Sur 26 sièges à pourvoir, la CGTU remporta 25 sièges, Jean Bouscand fut le mieux élu. Il fut parmi les principaux orateurs avec Lucien MidolAdrien LangumierAuguste Heinimann, lors de meetings organisés par la CGTU dans le département«  (Le Maitron).
Il est secrétaire du Comité départemental du Parti communiste et de la section communiste de Dijon et devient gérant du journal communiste : « Le Travailleur de Bourgogne ».
En novembre 1930, il a déménagé au 22, rue Magenta à Dijon.

Une de « l’Humanité » du 9 juillet 1932

En juillet 1932, il est à la tête d’une manifestation organisé par le Comité de lutte contre les préparations de guerre, à l’occasion de manœuvres militaires aériennes sur la base de Dijon qui devaient faire participer la population.
Il prend la parole du haut du kiosque à musique de la place Wilson, malgré l’intervention de policiers.
En 1933, il est secrétaire du syndicat CGTU des cheminots de Dijon.

En 1934, il est chef de train au PLM (SNCF, dossier n° 44295, catégorie A) et candidat tête de liste pour la Fédération unitaire aux élections du Conseil supérieur des Transports (plusieurs décrets de 1934 substituent le Conseil Supérieur des Transports au Conseil Supérieur des Chemins de fer créé en 1921 et au comité de Coordination de 1934).

Le Travailleur socialiste de l’Yonne, 6 octobre 1934

« Il fut candidat communiste aux élections législatives de mai 1932 (à Châtillon-sur-Seine) et d’avril-mai 1936 (2e circonscription de Dijon), aux élections cantonales d’octobre 1934 (Dijon-Sud), enfin tête de liste aux élections municipales en 1934 et 1935. En 1935, il arriva en deuxième position sur la liste communiste derrière Auguste Heinimann, obtenant 912 voix sur 17.926 votants.  « 

Elections cantonales  d’octobre 1937.  Sur cette même liste figure Armand Saglier qui sera également déporté à Auschwitz

Très actif pendant la période du Front populaire comme secrétaire régional du PC (Côte-d’Or et Yonne), Jean Bouscand prit la parole dans de très nombreux meetings et écrivit les éditoriaux du Travailleur de Bourgogne dont il était administrateur. » (Le Maitron).

Conseiller municipal élu en 1935, il est un des 24 conseillers municipaux en septembre 1938 qui sont élus délégués sénatoriaux du conseil municipal de Dijon en septembre, avec 17 voix, en prévision du scrutin d’octobre 1938.
Il est domicilié au 22, rue Magenta à Dijon.

En 1939, il se remarie avec Jeanne Thibeau, sœur de Jean-Baptiste Thibeau, militant CGT chez Terrot, secrétaire général adjoint de l’UD CGT, membre de la direction régionale communiste (déporté et mort à Mauthausen en 1944). Il est à ce moment-là chef de dépôt auprès du parc d’infirmerie.

Secrétaire régional du Parti communiste, il participe à l’activité du P.c. jusqu’à la dissolution (orateur dans les meetings contre les décrets-Lois Daladier, avec des membres du Comité Central : 2000 participants à Dijon avec Raymond Guyot en avril 1939).
Le syndicat CGT des cheminots de Dijon est dissout sur ordre du Préfet. Le 29 décembre 1939, la police municipale de Dijon
perquisitionne le domicile de Jean Bouscand. Elle saisit notamment des documents syndicaux.

Sueddeutsche Zeitung Photo : Dijon 1940

Le 14 juin 1940, l’armée allemande d’occupation entre dans Paris. La ville cesse alors d’être la capitale du pays et devient le siège du commandement militaire allemand en France. Le 17 juin 1940, les troupes de la Wehrmacht entrent dans Dijon et s’y installent. Interdictions, réquisitions, couvre-feu, l’armée allemande contrôle la ville. Dijon est durement touchée par la politique antisémite et les arrestations orchestrées par les troupes allemandes et l’administration de Vichy. L’armistice est signé le 22 juin. Le 10 juillet 1940 le maréchal Pétain, investi des pleins pouvoirs par l’Assemblée nationale, s’octroie le lendemain le titre de « chef de l’Etat français ». Dès le début de l’Occupation allemande, la police de Vichy surveille les anciens élus, candidats ou militants communistes « notoires », procédé à des perquisitions et des arrestations. Vichy entend ainsi faire pression sur les militants communistes connus ou anciens élus pour faire cesser la propagande communiste clandestine.

Un arrêté préfectoral du 10 juin 1940 stipule qu’il est astreint à résider au Fort d’Hauteville-lez-Dijon (ex fort Carnot), « vu le décret du 18 novembre 1939 relatif aux mesures à prendre à l’égard des individus dangereux pour la Défense Nationale et la sécurité publique ». A l’automne 1940, il reconstitua le PC clandestin en Côte d’Or avec Jean Mahon (1). Il fut dénoncé le 13 avril 1940 par une lettre anonyme envoyée à la Préfecture et au commissaire spécial de Dijon comme se livrant « à la propagande soviétique auprès des permissionnaires « (in Le Maitron, édition électronique, notice de Pierre Lévêque).
« Sa présence dans le département fut considérée comme dangereuse. La SNCF le mit en retraite forcée le 1er novembre 1940 en raison de « son activité anti-nationale » (loi du 17 juillet 1940), puis le révoqua en février 1941 » Le Maitron, notice Pierre Levêque et Jean Belin). 

Jean Bouscand est arrêté le 22 juin 1941 par la police allemande (le 22 juin 1941, jour de l’attaque hitlérienne contre l’Union soviétique, sous le nom « d’Aktion Theoderich, les Allemands arrêtent dans la zone occupée et avec l’aide de la police française,», plus de mille communistes.
D’abord placé dans des lieux d’incarcération contrôlés par le régime de Vichy (pour ceux de Côte d’Or, les prisons de Dijon, puis de Vesoul) « Torturé au siège de la Gestapo et interné à la prison de Dijon« , il est, comme ses camarades envoyé, à partir du 27 juin 1941, au camp allemand de Royallieu à Compiègne (Oise), administré par la Wehrmacht (le Frontstalag 122) et qui ce jour là devient un camp de détention des “ennemis actifs du Reich”.
Jean Bouscand est interné à Compiègne le 5 juillet 1941. Depuis ce camp administré par la Wehrmacht, il va être déporté à destination d’Auschwitz. Pour comprendre la politique de l’Occupant qui mène à sa déportation, on lira les deux articles du site qui exposent les raisons des internements, des fusillades et de la déportation : La politique allemande des otages (août 1941-octobre 1942) et «une déportation d’otages».

Bien qu’atteint de tuberculose, Jean Bouscand est déporté à Auschwitz depuis le camp de Compiègne, dans le convoi du 6 juillet 1942.

Cf Article du site : Les wagons de la Déportation. 

Ce convoi est composé au départ de Compiègne, de 1175 hommes (1100 « otages communistes » – jeunes communistes, anciens responsables politiques et élus du Parti communiste, syndicalistes de la CGT et délégués du personnel d’avant-guerre, militants et syndicalistes clandestins, résistants – de cinquante trois « otages juifs » et de quelques « droits communs »). Il faisait partie des mesures de terreur allemandes destinées à combattre, en France, les judéo-bolcheviks responsables, aux yeux de Hitler, des actions armées organisées par le parti communiste clandestin contre des officiers et des soldats de la Wehrmacht, à partir d’août 1941. Lire dans le site le récit des deux jours du transport : Compiègne-Auschwitz : 6-8 juillet 1942. Sur les 1175 otages partis de Compiègne le 6 juillet 1942, 1170 sont présents à l’arrivée du train en gare d’Auschwitz le 8 juillet 1942. Ces derniers sont enregistrés et photographiés au Stammlager d’Auschwitz (camp souche ou camp principal, dénommé en 1943 Auschwitz-I) entre les numéros « 45157 » et « 46326 », d’où le nom de « convoi des 45000 », sous lequel les déportés du camp désignaient ce convoi. Ce matricule – qu’il doit apprendre à dire en allemand et en polonais à toute demande des Kapos et des SS – sera désormais sa seule identité. Lire dans le site : Le KL Auschwitz-Birkenau.

Il est enregistré à son arrivée à Auschwitz le 8 juillet 1942 sous le numéro matricule « 45.292 ».

Sa photo d’immatriculation (2) à Auschwitz a été retrouvée parmi celles que des membres de la Résistance intérieure du camp avaient camouflées pour les sauver de la destruction, ordonnée par les SS peu de temps avant l’évacuation d’Auschwitz.

Lire dans le site le récit de leur premier jour à Auschwitz : L’arrivée au camp principal, 8 juillet 1942. et 8 juillet 1942 : Tonte, désinfection, paquetage, « visite médicale ».  Après l’enregistrement, il passe la nuit au Block 13 (les 1170 déportés du convoi y sont entassés dans deux pièces). Le 9 juillet tous sont conduits à pied au camp annexe de Birkenau, situé à 4 km du camp principal. Le 13 juillet il est interrogé sur sa profession. Les spécialistes dont les SS ont besoin pour leurs ateliers sont sélectionnés et vont retourner à Auschwitz I (approximativement la moitié du convoi. Les autres, restent à Birkenau, employés au terrassement et à la construction des Blocks.

Jean Bouscand meurt à Auschwitz le 11 août 1942 d’après les registres du camp.
Jean Bouscand est homologué « Déporté politique ». Il est homologué au titre des Forces Française de l’Intérieur (FFI) comme appartenant à l’un des mouvements de Résistance.

Plaque quartier du Stand

Une salle de la Bourse du travail de Dijon porte son nom, qui est honoré sur deux plaques de rues.

L’une dans le quartier des Poussots (relevé Genweb © Serge Recorbet, l’autre (ci-contre) sur le mur d’enceinte de l’hôpital Bocage –A la mémoire des héros de la Résistance du quartier du Stand victimes de la barbarie nazie– relevé © Jean-Pierre Petit.
Le 11 octobre 1946, « le syndicat des cheminots de Dijon appelle les cheminots de tous les services à participer à la remise du souvenir en mémoire de notre cher camarade Jean Bouscand, mort en déportation » (DDD 11/10/1946).

Les Dernières Dépêches de Dijon (14/10/1946) publient une photo de l’hommage rendu par les cheminots à leur camarade disparu (allocution de Dessagne).

Cérémonie samedi 12 octobre 1946

Le 5 juin 1948, Gabriel Lejard, rescapé du convoi, signe un article dans le journal communiste L’Avenir de la Côte-d’Or, intitulé « En souvenir de mes
camarades de misère, et pour rafraîchir la mémoire à ceux qui ont déjà
oublié 
». Il y présenta les clichés anthropométriques retrouvés de 5 de ses treize camarades du département, prises à Auschwitz le 8 juillet 1942, dont celui de Jean Bouscand. 

A l’initiative du Secours Populaire Français, son nom, et celui d’un autre déporté du convoi, Roger Josselin, tous deux originaires ou ayant habité le quartier des Poussots à Dijon, est honoré sur une plaque commémorative, au carrefour de la rue d’Auxonne et du Boulevard Mansard.

  • Note 1 : « Le 11 décembre 1940, les premiers groupes de l’Organisation Spéciale (O.S.). dirigés par Jean Mahon, Chalon et Grillot, font dérailler un train de marchandise entre le poste 2 de Perrigny et le poste 2 de Longvic, détruisant quatre citernes de vin destiné aux Allemands et coupant la voie pendant 14 heures« . Albert Ouzoulias mentionne encore deux autres déraillements, les 3 et 13 janvier 1941, puis, «de janvier à juin 1941, ces mêmes groupes (réalisent) des récupérations d’armes et d’explosifs, la remise en état des armes et la fabrication d’engins dans les ateliers du dépôt.» De septembre au 15 octobre, avec un effectif de 24 hommes, le groupe de l’O.S. s’attaque aux locomotives, par sablage des boîtes à huile. La police militaire allemande soupçonne Jean Mahon, Jean Bouscand et Gabriel Lejard de coordonner les opérations de sabotage au dépôt de Perrigny, mais n’en possède pas de preuves.
  • Note 2 : 522 photos d’immatriculation des « 45.000 » à Auschwitz ont été retrouvées parmi celles que des membres de la Résistance intérieure du camp avaient camouflées pour les sauver de la destruction, ordonnée par les SS peu de temps avant l’évacuation du camp d’Auschwitz. A la Libération elles ont été conservées dans les archives du musée d’Etat d’Auschwitz. Des tirages de ces photos ont été remis par Kazimierz Smolen (ancien détenu dans les bureaux du camp d’Auschwitz, puis directeur du Musée d’Etat d’Auschwitz) à André Montagne, alors vice-président de l’Amicale d’Auschwitz, qui me les a confiés

Sources

  • Témoignage de Gabriel Lejard (textes et cassette audio enregistrée en 1988).
  • Archives nationales F7/13686; « Le travailleur de Bourgogne », (articles 1933-1939) L’Avenir de la Côte d’Or » (2 juin 1945).
  • Photo immatriculation à Auschwitz identifiée par Gabriel Lejard à la FNDIRP.
  • Archives municipales de Dijon : lettre du conservateur, Mme Degroise du 18 sept. 1991.
  • Listes – incomplètes – du convoi établies par la FNDIRP après la guerre (archives de la F.N.D.I.R.P).
  • Fiche FNDIRP remplie par sa veuve (N° 21488 / 8387), qui en réfère aux témoignages de deux rescapés
  • Death Books from Auschwitz, Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau, 1995 (basé essentiellement sur les registres – incomplets – de l’état civil de la ville d’Auschwitz ayant enregistré, entre le 27 juillet 1941 et le 31 décembre 1943, le décès des détenus immatriculés).
  • Fichier national de la Division des archives des victimes des conflits contemporains (DAVCC), Ministère de la Défense, Caen.
  • Liste (incomplète) par matricule du convoi du 6 juillet 1942 établie en 1974 par les historiens du Musée d’Etat d’Auschwitz-Birkenau (Bureau des archives des victimes des conflits contemporains (Ministère de la Défense, Caen) indiquant généralement la date de décès au camp.
  • « Livre des déportés ayant reçu des médicaments à l’infirmerie de Birkenau, kommando d’Auschwitz » (n° d’ordre, date, matricule, chambre, nom, nature du médicament) du 1.11.1942 au 150.7.1943.
  • (1) Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, Le Maitron, Claude Pennetier (dir), éditions de l’Atelier, CD-Rom. Tome 20, page 152, notice de Pierre Lévêque, complétée en 2020 avec Jean Belin.
  • Etat civil et Registres matricules militaires de la Côte d’Or en ligne. 
  • L’Humanité, cantonales d’octobre 1937.

Notice biographique rédigée en février 1998, complété en 2015, 2016 et 2021 par Claudine Cardon-Hamet (docteur en Histoire, auteur des ouvrages : Mille otages pour Auschwitz, le convoi du 6 juillet 1942 dit des « 45000 », éditions Graphein, Paris 1997 et 2000 (épuisé) et de Triangles rouges à Auschwitz, le convoi du 6 juillet 1942 dit des « 45000 », éditions Autrement, Paris 2005). Prière de mentionner ces références (auteur et coordonnées de ce site) en cas de reproduction ou d’utilisation totale ou partielle de cette notice biographique.
Pour la compléter ou la corriger, vous pouvez me faire un courriel à deportes.politiques.auschwitz@gmail.com.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *