Charles Longle © archives familiales
Charles Longle : né en 1900 à Paris 14ème ; domicilié à Granville (Manche) ; boulanger, puis permanent du Parti communiste ; délégué Cgt ; arrêté le 22 juin 1941 ; interné à Compiègne ; déporté à Auschwitz le 6 juillet 1942, où il meurt le 27 septembre 1942.

René, dit Charles Longle est né le 19 août 1900 à Paris 14ème. Charles Longle habite au 42, rue Couraye à Granville (Manche) au moment de son arrestation.
Il est le fils de Louise, Eugénie Charles, 26 ans, ménagère et de René Longle, 27 ans, employé puis serrurier, son époux. Ses parents habitent au 25, rue du Bois (renommée rue Henri Barbusse à la Libération) à Clichy-la-Garenne (Seine / Hauts-de-Seine) et non Clichy-sous-Bois (Seine-et-Oise / Seine-Saint-Denis) comme indiqué par erreur sur plusieurs sites.

Il est ouvrier boulanger de profession à Clichy-la-Garenne, où il se marie le 31 juillet 1920 avec Marie, Rose, Félicie Bonnefoy.
Employée de bureau, elle est née à Paris 17ème, le 23 mars 1897. Elle habite Clichy, au 26, rue de l’Union.
Le couple a six enfants en 1939 selon le registre matricule militaire de Charles Longle : Louise née en 1920, Renée en 1922, Charles en 1927, André et Léone nés le 27 janvier 1930 à Clichy, Lucien né en 1933.
Son registre matricule militaire nous apprend qu’il mesure 1m 631/2, a les cheveux roux foncés, les yeux noirs, le front moyen et
le nez ordinaire, le visage ovale. Au moment de l’établissement de sa fiche, il est mentionné qu’il travaille comme boulanger. Il habite chez ses parents au 25, rue du Bois à Clichy. Conscrit de la classe 1920, il est classé dans la dernière partie de la liste d’appel au service militaire en 1920 et ne sera appelé que l’année suivante. Classé « service armé » en février 1921, il est affecté le 7 avril 1921 à la 22ème section de COMA (Commis et Ouvriers Militaires d’Administration). Il est «classé dans la disponibilité» et retourne à la vie civile le 6 septembre 1922.
En octobre 1923, la famille habite au 12, rue de la Roquette, à Paris 12ème.
En août 1924 ils déménagent à Sceaux (Seine) au 49, rue Houdan. En juillet 1926, ils reviennent habiter à Clichy-la-Garenne au 27, rue du Bois, à côté de ses parents. En mai 1929, ils habitent dans les nouveaux HBM terminés en 1929, au 14, de la rue Simonneau, appartement n°11, face aux nouveaux Bains-douches (aujourd’hui centre Marc Chagall).
Charles Longle est un « militant communiste actif » selon les services de police.
Il entre le 5 mai 1929, au conseil municipal de Clichy-la-Garenne sur la liste de Charles Auffray. Mais il ne suit pas le maire et la majorité des édiles dans la dissidence qui les oppose à la direction du Parti communiste (ceux-ci participent alors à la création du Parti d’Unité Prolétarienne).
Il est considéré, en 1931, par le « Prolétaire de Clichy-Levallois » créé par Charles Auffray, comme le «chef de la fraction communiste».
Selon son épouse son appartenance au PC lui a fait perdre son travail et il ne pouvait plus trouver d’embauche dans cette ville.
En septembre 1932 la famille Longle a déménagé à Donville-les-Bains (Manche), puis elle habitera Granville. Il a en effet trouvé du travail comme gérant d’une boulangerie à Donville appartenant à M. Joseph Gonfroy, patron boulanger à Granville.

L’Ouest Eclair du 27 avril 1936

Le 26 avril 1936, Charles Longle remplace Pierre Cadiou comme candidat du Parti communiste aux élections législatives de Mortain (il ne recueille alors que 63 voix soit 0,11 % des suffrages exprimés, alors que Pierre Cadiou avait recueilli 3 % en 1935).
En 1937, il est membre de l’Union locale CGT de Granville, dont il devient secrétaire-adjoint lors du renouvellement de bureau.

Ouest-Eclair 12 avril 1937

Le 11 avril 1937, à l’élection législative partielle, il est à nouveau candidat du Parti communiste (il recueille 137 voix, soit 1,14% des exprimés).

L’Humanité  7 octobre 1937 : C’est son premier prénom d’état civil qui est utilisé pour la candidature officielle.

Il est à nouveau candidat du Parti Communiste pour l’élection cantonale partielle d’octobre 1937 à Granville (photo ci-contre : le typographe de L’Humanité a mal orthographié Mortain).

En décembre 1937, son bail de boulanger arrive à expiration (c’est tout au moins ce qu’écrit le journal local).
Il refuse de quitter le logement tant que son patron M. Gonfroy ne lui aura pas trouvé un logement (il est père de six enfants). Au cours de la venue de son patron (sans doute pas seul) le ton monte et son épouse appelle les voisins au secours. Une douzaine d’entre eux se mêlent à l’échauffourée, et les gendarmes interviennent (in l’Avranchin du 8 janvier 1938).

Résultats du premier tour à Granville, L’Humanité du 16 octobre 1937. C’est son premier prénom d’état civil qui est utilisé pour la candidature officielle.

« A Granville ses recherches en vue de retrouver un emploi dans sa profession sont demeurées vaines. Il est allé vers la fin de 1939 se mettre à la disposition des dirigeants de son groupement politique à Paris, ceux-ci l’ayant désigné comme propagandiste rétribué, il est revenu à Granville où, à partir de décembre 1939, il a déployé toute son activité en faveur de son parti »  selon la Sureté nationale (DGSN).

Il est en effet nommé « Délégué à la propagande » par le Comité central (à l’instar de militants plus connus, comme Octave Rabaté ou François Vittori), mais au moins à partir d’avril 1938 et non à la fin 1939 comme l’écrit la DGSN. Il s’agit vraisemblablement d’une erreur de transcription (Cf les coupures de presse de 1938 rassemblées ci-dessous).

Quelques uns des meetings animés par Charles Longle entre 1938 et juillet 1939

Et cette fonction rémunérée l’amène à sillonner les départements en majorité de l’Ouest (Charente-Maritime, Manche, Maine et Loire, Sarthe, Indre et Loire, Loire et Cher, Cher), mais aussi les Vosges, où il anime des meetings ou réunions du Parti communiste aux côtés des dirigeants locaux. C’est ainsi qu’on trouve l’annonce de ces meetings dans au moins 13 numéros de L’Humanité et la presse locale dont Cherbourg-Eclair, entre le 19 avril 1938 à Cherbourg et le 8 juillet 1939 dans la Sarthe.

En 1939, Toujours membre de la section communiste de Granville, il en est le délégué permanent et travaille à la reconstitution du Parti communiste clandestin après son interdiction. Charles Longle est astreint à résidence à Granville par le gouvernement Daladier après l’interdiction du Parti communiste (le 26 septembre 1939 ).

Charles Longle est libéré de toute obligation militaire (en tant que père de famille de six enfants, il est ramené à la classe « 1908 », non mobilisable en 1939).
Pendant la « drôle de guerre », il est astreint à résidence à Mortain par décision ministérielle.

Troupes allemandes sur la place Foch à Granville. Coll. JM. Santier

Du 7 au 19 juin 1940 la Normandie est envahie par les chars de Rommel. Le 15ème corps d’armée, commandé par le général Hotz investit Saint-Lô le 18 juin et Cherbourg le 19. Le 14 juin 1940, la Wehrmacht défile à Paris, sur les Champs-Élysées. La ville cesse alors d’être la capitale du pays et devient le siège du commandement militaire allemand en France. Le 21 juin 1940, horloges et montres sont avancées d’une heure.  La moitié nord de la France et toute la façade ouest sont occupées. Le 22 juin 1940, l’armistice est signé : la moitié nord de la France et toute la façade ouest sont occupées. Le pays est coupé en deux par la « ligne de démarcation » qui sépare la zone occupée et celle administrée par Vichy. Le 10 juillet 1940 Pétain, investi des pleins pouvoirs par l’Assemblée nationale, s’octroie le lendemain le titre de « chef de l’Etat français ». Il lance la « Révolution nationale » en rupture avec nombre de principes républicains (confusion des pouvoirs législatifs et exécutifs ; rejet du multipartisme, suppression des syndicats et du droit de grève, antisémitisme d’état…).

Charles Longle est docker à Granville au moment de son arrestation (selon la DGSN, il est manœuvre pour le compte des Allemands sur le port de Granville).
En septembre 1940, il diffuse des tracts anti-allemands avec Léon Blouet (son adjoint), Charles Passot et Léon Lamort, ce que confirment les témoignages de Michel Boivin, ouvrier boulanger et Louis Blouet.
Selon la Sureté nationale « il recouvre la liberté à l’exode et demeure tranquille quelque temps. Il ne reprend quelques activités que peu de temps avant son arrestation, un nommé Canton dit « Henri », militant communiste notoire étant venu le voir chez lui, il avait décidé de reprendre sa propagande« .
« A Granville, en mars, Louis Blouet est l’adjoint de René Longle avec qui Louis Pinson, instituteur à La Haye-Pesnel, prend contact à l’occasion d’une visite à son ancien professeur Maurice Marland qui l’encourage à la Résistance. Pour l’instant le mouvement ne se manifeste que par des tracts envoyés par la poste ». Jean Quellien.

Lettre de Louis Blouet, 1972

Dans une lettre au « Patriote Résistant » en date du 8 décembre 1972, Louis Blouet, qui avait milité au Parti communiste avec Passot, Lamort et Longle relate ces faits : « dès ma démobilisation (début juillet 1940) j’ai repris contact avec Charles Longle (qui revenait de Mortain où le gouvernement Daladier l’avait astreint à résidence), avec Passot et Lamort. Nous avons édité et diffusé des tracts anti-allemands en septembre 40, je crois. Puis en février et mars 1941, nous avons composé et ronéoté des lettres que nous avons adressé à toutes les personnalités ou militants laïques, de gauche, avec lesquels nous avions été en contact lors du comité antifasciste des années 35-36, afin de les « tâter », ne sachant pas trop comment avaient évolué leurs sentiments. J’ai posté ces lettres où nous les informions que des patriotes prendraient contact avec eux sur le chemin Granville-Tours (où je me rendais à bicyclette »).

Charles Longle est arrêté le dimanche 22 juin 1941, à 20 heures à son domicile par trois Feldgendarmen, en raison de son passé politique : le 22 juin 1941, jour de l’attaque hitlérienne contre l’Union soviétique, sous le nom «d’Aktion Theoderich», les Allemands arrêtent dans la zone occupée et avec l’aide de la police française plus de mille communistes. D’abord placés dans des lieux d’incarcération contrôlés par le régime de Vichy (prison maritime de Cherbourg, prison de St Lô pour ceux de la Manche) ils sont envoyés, à partir du 27 juin 1941, au camp allemand de Royallieu à Compiègne (Oise), administré par la Wehrmacht et qui ce jour là devient un camp de détention des “ennemis actifs du Reich”, le Frontstalag 122.

Avis du commissaire de police de Granville au Sous Préfet annonçant l’arrestation de Lamort, Longle et Pasot et de 5 réfugiés russes par les Allemands  (24 juin 1941,  Arch. dép. Manche (1370 W 127)

« Les partis politiques ont été interdits dès le début de l’occupation et seul le parti communiste a maintenu une activité clandestine importante. Les partis collaborationnistes ont étés autorisés, soumis au contrôle allemand. 18 militants communistes résidant à Granville à la date du 27 décembre 1940 sont surveillés par le commissariat de police, et trois d’entre eux (Léon Lamort, Charles Longle et Charles Passot) sont arrêtés le 22 juin 1941 par les Allemands en même temps que cinq réfugiés russes et un Russe naturalisé. Détenus d’abord à Saint-Lô, les trois présumés communistes granvillais sont convoyés à Compiègne ». in Le Didac’doc – Service éducatif des archives départementales de la Manche – Janvier 2010.

Léon Lamort est déporté le 24 janvier 1943 à Neuengamme. Il meurt le 2 février 1945 dans un Kommando travaillant pour l’avionneur Blohm et Voss.
Pour le département de la Manche, Léon Lamort, Charles Longle (45 802) et Charles Passot (45 951) de Granville, Alphonse Doucet (45 479) et Maurice Fontaine, d’Equeurdreville, Edouard Lechevalier (45 747) et Hyppolite Mesnil de Cherbourg, Julien Leterrier de Tourlaville, Gaston Launay d’Octeville, sont arrêtés dans le cadre de cette opération. La grande rafle est commencée le 22 juin 1941, jour de l’attaque hitlérienne contre l’Union soviétique sous le nom de code d’ Aktion Theoderich.

Depuis ce camp administré par la Wehrmacht, il va être déporté à destination d’Auschwitz. Pour comprendre la politique de l’Occupant qui mène à sa déportation, on lira les deux articles du site qui exposent les raisons des internements, des fusillades et de la déportation : La politique allemande des otages (août 1941-octobre 1942) et «une déportation d’otages».

Léon Blouet écrit : « la femme de Charles Longle à qui j’apportais à diverses reprises – en me cachant – des colis pour mes trois camarades, m’apprit un jour qu’ils avaient été déportés en Allemagne« .

Depuis le camp de Compiègne, Charles Longle est déporté à Auschwitz dans le convoi du 6 juillet 1942.

Cf l’article du site : Les wagons de la Déportation.

Ce convoi est composé au départ de Compiègne, de 1175 hommes (1100 « otages communistes » – jeunes communistes, anciens responsables politiques et élus du Parti communiste, syndicalistes de la CGT et délégués du personnel d’avant-guerre, militants et syndicalistes clandestins, résistants – de cinquante trois « otages juifs » et de quelques « droits communs »). Il faisait partie des mesures de terreur allemandes destinées à combattre, en France, les judéo-bolcheviks responsables, aux yeux de Hitler, des actions armées organisées par le parti communiste clandestin contre des officiers et des soldats de la Wehrmacht, à partir d’août 1941.
Lire dans le site le récit des deux jours du transport : Compiègne-Auschwitz : 6-8 juillet 1942.
Sur les 1175 otages partis de Compiègne le 6 juillet 1942, 1170 sont présents à l’arrivée du train en gare d’Auschwitz le 8 juillet 1942. Ces derniers sont enregistrés et photographiés au Stammlager d’Auschwitz (camp souche ou camp principal, dénommé en 1943 Auschwitz-I) entre les numéros « 45157 » et « 46326 », d’où le nom de « convoi des 45000 », sous lequel les déportés du camp désignaient ce convoi. Ce matricule – qu’il doit apprendre à dire en allemand et en polonais à toute demande des Kapos et des SS – sera désormais sa seule identité. Lire dans le site : Le KL Auschwitz-Birkenau.

Lire dans le site le récit de leur premier jour à Auschwitz : L’arrivée au camp principal, 8 juillet 1942. et 8 juillet 1942 : Tonte, désinfection, paquetage, « visite médicale ».
Après l’enregistrement, il passe la nuit au Block 13 (les 1170 déportés du convoi y sont entassés dans deux pièces). Le 9 juillet tous sont conduits à pied au camp annexe de Birkenau, situé à 4 km du camp principal. Le 13 juillet il est interrogé sur sa profession. Les spécialistes dont les SS ont besoin pour leurs ateliers sont sélectionnés et vont retourner à Auschwitz I (approximativement la moitié du convoi. Les autres, restent à Birkenau, employés au terrassement et à la construction des Blocks. 

Franz Reisz, dessin de 1946

Charles Longle meurt à Auschwitz le 27 septembre 1942 d’après le certificat de décès établi au camp d’Auschwitz (in Death Books from Auschwitz Tome 2 page 739).
La mention Mort en déportation est apposée sur son acte de décès (arrêté du 5 août 2008 paru au Journal Officiel du 2 septembre 2008). Cet arrêté porte néanmoins une mention erronée : décédé le 15 janvier 1943 à Auschwitz (Pologne). Il serait souhaitable que le ministère prenne désormais en compte par un nouvel arrêté la date portée sur son certificat de décès de l’état civil d’Auschwitz, accessible depuis 1995 (Death Books from Auschwitz, Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau). Et ce d’autant plus que la date exacte a été inscrite sur son acte de naissance à la mairie du  14ème le 17 août 1998 !
Lire dans le blog l’article expliquant les différences de dates entre celle inscrite dans les «Death
books»
et celle portée sur l’acte décès de l’état civil français) Lire : 
Les dates de décès des « 45000 » à Auschwitz.

Grâce aux démarches de Léon Blouet (président de la commission départementale FFI à la Libération), résistant de Granville, Charles Longle est homologué « Déporté Résistant ».
Son nom est inscrit sur la plaque « Aux Victimes de la répression nazie », porte de l’ancienne prison détruite lors du bombardement du 6 juin 1944. Il est également gravé sur le Monument Maurice Marland et à l’Eglise Saint-Paul de Granville.

Sources

  • Témoignage de Léon Blouet, qui milita avec lui au Parti communiste dès 1935-36, et qui repris contact avec lui dès sa propre démobilisation (début juillet 1940). Lettre du 8 décembre 1972 au « PR ». L’épouse de Léon Blouet, Janny Silvaire fut déportée à Ravensbruck, et participa à l’ouvrage collectif de poésies édité sous le titre « la grande nuit de Ravensbrûck« .
  • Les recherches de Renée Siouville (résistante, veuve de Lucien Siouville (46106), rencontrée par Roger Arnould au pèlerinage d’Auschwitz de 1971) effectuées auprès des Associations locales et des archives municipales et départementales ont permis de dresser une première liste et éléments biographiques de 17 des 18 « 45000 » de la Manche.
  • Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, Le Maitron, Claude Pennetier (dir), éditions de l’Atelier, CD-Rom.
  • « La Résistance dans la Manche  » (Marcel Leclerc) Ed. La Dépêche. Page 39.
  • Listes – incomplètes – du convoi établies par la FNDIRP après la guerre (archives de la F.N.D.I.R.P).
  • Death Books from Auschwitz, Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau, 1995 (basé essentiellement sur les registres – incomplets – de l’état civil de la ville d’Auschwitz ayant enregistré, entre le 27 juillet 1941 et le 31 décembre 1943, le décès des détenus immatriculés).
  • « Livre des déportés ayant reçu des médicaments à l’infirmerie de Birkenau, kommando d’Auschwitz » (n° d’ordre, date, matricule, chambre, nom, nature du médicament) du 1.11.1942 au 150.7.1943.
  • Wikimanche, résultats des élections législatives de 1936 et 1937.
  • Recherches généalogiques (Naissance, Registre matricule militaire, mariage, recensements 1931 à Clichy, coupures de presse, ouvrages) effectuées par Pierre Cardon.

Notice biographique rédigée en avril 2001 (actualisée en 2012, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2023 par Pierre Cardon, ancien secrétaire de la section communiste de Clichy et Claudine Cardon-Hamet (docteur en Histoire, auteur des ouvrages : Mille otages pour Auschwitz, le convoi du 6 juillet 1942 dit des « 45000 », éditions Graphein, Paris 1997 et 2000 et de Triangles rouges à Auschwitz, le convoi du 6 juillet 1942 dit des « 45000 », éditions Autrement, Paris 2005), pour le livre « De Caen à Auschwitz » (Collège Paul Verlaine d’Evrecy, Lycée Malherbe de Caen et Association « Mémoire vive ») juin 2001, Ed. Cahiers du temps. Prière de mentionner ces références (auteur et coordonnées de ce site) en cas de reproduction ou d’utilisation totale ou partielle de cette notice biographie.
Pour la compléter ou la corriger, vous pouvez me faire un courriel à deportes.politiques.auschwitz@gmail.com

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